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de l'hypercontrole au burn-out

From hyper control to burn out: the insidious consequences of sexual abuse on professional life

One woman in five* says she has already been sexually abused. Among the hundreds of women I have accompanied in their professional development, nearly one in four has told me about a sexual assault or rape suffered, most often in childhood or adolescence. In the course of their careers, these women find themselves held back by mechanisms linked to this traumatic experience. How can these women unleash their professional potential and find the path to success?

de l'hypercontrole au burn-out

De l’hyper contrôle au burn out: les conséquences insidieuses des abus sexuels sur la vie professionnelle

Une femme sur cinq* déclare avoir déjà subi des violences sexuelles. Parmi les centaines de femmes que j’ai accompagnées dans leur développement professionnel, près d’une sur quatre m’a fait part d’une agression sexuelle ou d’un viol subi, le plus souvent, dans l’enfance ou l’adolescence. Au cours de leur carrière, ces femmes se retrouvent freinées dans leur progression par des mécanismes liés à cette expérience traumatique. Comment ces femmes peuvent-elles libérer leur potentiel professionnel et retrouver le chemin de la réussite ?

Isabelle Henkens, sexual violence

Sexual violence: Why men need to talk

150 : this is the number that blew my mind. I am a lawyer and a psychologist and I was reading research on sexual violence.
I came across that study, unique as far as I know, whereby 377 non-incarcerated paedophiles were asked about the number of victims they made. When they molested girls, the average number of victims was 20.
For those who molested boys, the average was 150.

hommes victimes de violences sexuelles

[VIDEO] Violences sexuelles: pourquoi les hommes doivent parler maintenant

150, c’est le nombre qui m’a estomaqué.
Je suis juriste et psychologue et je prenais connaissance de recherches qui ont été faites sur la violence sexuelle.
j’ai notamment pris connaissance d’une étude unique en son genre parce que ce sont 377 pédophiles non-incarcérés qui été interrogés. Quand ils agressaient des filles, ils avaient fait en moyenne 20 victimes. Pour ceux qui agressaient des garçons la moyenne était de 150 victimes.